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Khoutbah n°1130 : Les versets explicites et les versets non explicites

Dieu nous a indiqué que dans le قُرْءَان Qour’an, il y a des versets explicites et des versets non explicites. Les versets explicites, ce sont ceux dont le sens qui en est visé est clair et qui n’admettent qu’une seule interprétation du point de vue de la langue.

Khoutbah n°1130

Discours du vendredi 21 mai 2021 correspondant au 9 شوال Chawwal 1442 de l’Hégire

Les versets explicites et les versets non explicites

الحمد لله والصلاة والسلام على سيّدنا محمد رسول الله يا أيها الذين ءامنوا اتقوا الله

Al-hamdou lil-Lahi wassalatou was-salamou ^ala sayyidina Mouhammad, raçouli l-Lah ; ya ‘ayyouha l-Ladhina ‘amanou t-taqou l-Lah.

La louange est à Dieu Qui a fait descendre le قُرْءَان Qour’an en tant que guidée et miséricorde, dans lequel figure des ayah non explicites et d’autres qui sont explicites. Il a éclairé par le قُرْءَان Qour’an les compréhensions d’un groupe de gens et Il a fait que les cœurs d’un autre groupe soient cadenassés. Celui que Dieu guide, c’est par Sa grâce qu’Il lui donne la force de Lui obéir, et celui que Dieu égare, c’est par Sa justice qu’Il lui donne la force de Lui désobéir. Dieu est exempt de toute imperfection, Il est exempt de l’injustice. Ce qu’Il veut, Il le réalise. Et j’invoque Dieu pour que davantage d’honneur et d’élévation en degré et l’apaisement quant au sort de sa communauté, soient accordés à notre maître مُحَمَّد Mouhammad, l’Imam des pieux vertueux, ainsi qu’à sa famille excellente et à ceux qui l’ont suivi sur la foi. Je témoigne qu’il n’est de dieu que Dieu Celui Qui seul mérite d’être adoré, et je témoigne que notre maître مُحَمَّد Mouhammad est Son esclave et Son messager, que les élévations en honneur et en degré de mon Seigneur lui soient accordées ainsi qu’à tout messager qu’Il ait jamais envoyé.

Esclaves de Dieu, je vous recommande ainsi qu’à moi-même de faire preuve de piété à l’égard de Dieu, العلي Al-^Aliyy,العظيم  Al-^Adhim, Lui Qui dit dans Son Livre honoré :

﴿هُوَ ٱلَّذِيٓ أَنزَلَ عَلَيۡكَ ٱلۡكِتَٰبَ مِنۡهُ ءَايَٰتٞ مُّحۡكَمَٰتٌ هُنَّ أُمُّ ٱلۡكِتَٰبِ وَأُخَرُ مُتَشَٰبِهَٰتٞۖ فَأَمَّا ٱلَّذِينَ فِي قُلُوبِهِمۡ زَيۡغٞ فَيَتَّبِعُونَ مَا تَشَٰبَهَ مِنۡهُ ٱبۡتِغَآءَ ٱلۡفِتۡنَةِ وَٱبۡتِغَآءَ تَأۡوِيلِهِۦۖ وَمَا يَعۡلَمُ تَأۡوِيلَهُۥٓ إِلَّا ٱللَّهُۗ وَٱلرَّٰسِخُونَ فِي ٱلۡعِلۡمِ يَقُولُونَ ءَامَنَّا بِهِۦ كُلّٞ مِّنۡ عِندِ رَبِّنَاۗ وَمَا يَذَّكَّرُ إِلَّآ أُوْلُواْ ٱلۡأَلۡبَٰبِ٧﴾

[3 / 7] (houwa l-ladhi ‘anzala ^alayka l-kitaba minhou ‘ayatoun mouhkamatoun hounna ‘oummou l-kitabi wa‘oukharou moutachabihatoun fa‘amma l-ladhina fi qouloubihim zayghoun fayattabi^ouna ma tachabaha minhou btigha’a l-fitnati wabtigha’a tawilihi wama ya^lamou tawilahou ‘il-la l-Lahou war-raçikhouna fi l-^ilmi yaqoulouna ‘amanna bihi koulloun min ^indi Rabbina wama yadh-dhakkarou ‘il-la ‘oulou l-‘albab) ce qui signifie : « C’est Lui Qui a fait descendre sur toi le Livre dans lequel il y a des ‘ayah explicites –mouhkamat– qui sont la référence et d’autres ayah non explicites –moutachabihat–. Ceux qui ont un égarement dans le cœur suivent ce qui n’est pas explicite en vue de semer la discorde et pour l’interpréter de la mauvaise manière. N’en sait le ta’wil que Dieu et ceux qui sont versés dans la science.  Ils disent : “Tout est de la part de notre Seigneur !” Seuls ceux qui sont dotés de raison sont exhortés par cela. »

Mes frères de foi, notre Seigneur nous a indiqué que dans le قُرْءَان Qour’an, il y a des ‘ayah explicites et des ‘ayah non explicites. Quant aux ‘ayah explicites, ce sont celles dont le sens qui en est visé est clair et qui n’admettent qu’une seule interprétation du point de vue de la langue. C’est-à-dire qu’elles n’admettent qu’une seule signification comme la parole de Dieu dans le قُرْءَان Qour’an honoré :

﴿وَلَمۡ يَكُن لَّهُۥ كُفُوًا أَحَدُۢ ٤﴾

[112 / 4] (walam yakoun lahou koufouwan ‘ahad) ce qui signifie : « Et il n’a point d’équivalent. » Et Sa Parole ta^ala :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

[42 / 11] (layça kamithlihi chay’) ce qui signifie : « Absolument rien n’est pareil à Lui. »

Dieu a appelé les ‘ayah explicites -mouhkamat- « ‘oummou l-kita», c’est-à-dire la référence. Autrement dit, elles sont la base à laquelle on ramène les ‘ayah non explicites, moutachabihat. La plupart des ‘ayah du Qour’an sont explicites, mouhkamah.

Concernant les ‘ayah non explicites -moutachabihah-, ce sont celles dont le sens visé n’a pas été clairement indiqué et qui, du point de vue de la langue arabe, admettent plusieurs possibilités d’interprétation, c’est-à-dire plusieurs sens. Pour connaître le sens qui est visé, on a besoin d’une étude faite par les gens qualifiés qui ont la bonne compréhension, la connaissance des textes révélés et de leur signification, ainsi que la connaissance de la langue arabe, de sorte que les différents sens ne leur échappent pas. En effet, ce n’est pas toute personne capable de réciter le قُرْءَان Qour’an qui a la capacité de l’expliquer. À titre d’exemple, il y a la parole de Dieu :

﴿ٱلرَّحۡمَٰنُ عَلَى ٱلۡعَرۡشِ ٱسۡتَوَىٰ ٥﴾

[20 / 5] (Ar-Rahmanou ^ala l-^archi stawa)

Dans la langue arabe, le mot ‘istawa admet quinze sens. On a donc besoin d’une étude faite par des savants, afin de connaître le sens visé dans cette ‘ayah.

Chers frères de foi, les gens de Ahlou s-sounnah ont suivi deux voies pour interpréter les ‘ayah non explicites –moutachabihah–. Les deux voies sont valables. La première est celle qui est suivie par la majeure partie des Salaf –les Salaf sont les gens des trois premiers siècles de l’Hégire–. En effet, ils ont interprété ce qui n’est pas explicite globalement en ramenant ces ‘ayah non explicites aux ‘ayah explicites –mouhkamah, et ce, en croyant en ces ‘ayah et en croyant qu’elles ont une signification qui convient à l’éminence de Dieu, sans en préciser le sens. Ils ne les ont pas expliquées pour autant selon le sens apparent, c’est-à-dire le sens qui vient en premier à l’esprit. Ainsi lorsqu’ils entendent la parole de Dieu :

﴿ٱلرَّحۡمَٰنُ عَلَى ٱلۡعَرۡشِ ٱسۡتَوَىٰ ٥﴾

[20 / 5] (Ar-Rahmanou ^ala l-^archi stawa), ils la ramènent à la ‘ayah explicite comme Sa parole ta^ala :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

[42 / 11] (layça kamithlihi chay’) ce qui signifie : « Absolument rien n’est pareil à Lui » et ils savent bien que le sens apparent de la parole de Dieu ta^ala :

﴿ٱلرَّحۡمَٰنُ عَلَى ٱلۡعَرۡشِ ٱسۡتَوَىٰ ٥﴾

[20 / 5] (Ar-Rahmanou ^ala l-^archi stawa), c’est-à-dire le sens qui vient communément à l’esprit [hors contexte], l’installation ou la position assise, n’est pas le sens visé par cette ‘ayah, car il s’agit de caractéristiques des créatures. Ce sens est donc contraire aux ‘ayah explicites –mouhkamah– telles que :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

[42 / 11] (layça kamithlihi chay’) ce qui signifie : « Absolument rien n’est pareil à Lui. »

Les Salaf l’ont donc interprétée en faisant une interprétation globale. Ils ont dit que Son istiwa est un istiwa qui convient à Son Être, c’est-à-dire qu’il ne s’agit ni d’une position assise, ni d’une installation, ni d’un établissement, et que c’est un istiwa qui n’a de ressemblance avec aucune des caractéristiques des créatures. Ceci est à l’exemple de ce que l’Imam Ach-Chafi^iyy, que Dieu l’agrée, a dit : « J’ai cru fermement en ce qui est parvenu de la part de Dieu selon le sens visé par Dieu et j’ai cru fermement en ce qui nous est parvenu du Messager de Dieu selon le sens visé par le Messager de Dieu. » Il a voulu dire, que Dieu l’agrée : en excluant les significations corporelles auxquelles les illusions et les pensées pourraient conduire, car elles ne sont pas possibles au sujet de Dieu.

La seconde voie, c’est la voie des savants du Khalaf –les savants du Khalaf sont les savants musulmans qui sont venus après les trois premiers siècles de l’Hégire–. Ils interprètent d’une façon détaillée en désignant des sens qui lui sont possibles et valables selon la langue arabe. Eux non plus ne les expliquent pas selon leurs sens apparents, agissant ainsi conformément aux gens du Salaf.

Par conséquent, les gens du Salaf –les prédécesseurs– et ceux du Khalaf –les successeurs– sont en accord sur le fait de ne pas donner à ces ‘ayah le sens apparent.

Au sujet de la ‘ayah :

﴿ٱلرَّحۡمَٰنُ عَلَى ٱلۡعَرۡشِ ٱسۡتَوَىٰ ٥﴾

[20 / 5] (Ar-Rahmanou ^ala l-^archi stawa) que nous avons donnée à titre d’exemple de ayah non explicites, la plupart des Salaf ont dit : (‘istawa bila kayf) c’est-à-dire un istiwa‘ sans comment, qui convient à l’éminence de Dieu et dont le sens n’est pas relatif aux caractéristiques des créatures. C’est-à-dire que précisément, ce n’est ni dans le sens de la position assise, ni dans le sens de l’installation, ni dans le sens de l’élévation par l’endroit.

Concernant les gens qui ont suivi la seconde voie, ils ont dit que l’istiwa signifie : Il a dominé, Il a préservé et Il a maintenu en existence. Parce que dans la langue arabe, qahara –Il a dominé– fait partie des sens de l’istiwa, et ce sens est conforme à la ayah explicite :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

[42 / 11] (layça kamithlihi chay’) et à Sa Parole ta^ala :

﴿وَهُوَ ٱلۡقَاهِرُ فَوۡقَ عِبَادِهِۦۚ﴾

[6 / 18] (wahouwa l-Qahirou fawqa ^ibadih) ce qui signifie : « Et Il est Celui Qui domine Ses esclaves par Sa toute-puissance. »

Certains égarés prétendent que le ta’wil est interdit et que les Salaf n’ont jamais fait de ta’wil. Mais ce sont là des paroles infondées et réfutées. Comment serait-ce le cas, alors qu’il est parvenu avec une forte chaîne de transmission, au sujet du Maître des gens صلَّى الله عليه وسلم, que Ibnou ^Abbas lui avait amené l’eau pour son woudou et le Prophète صلَّى الله عليه وسلم lui avait dit :

 (( من فعل هذا ؟ )) 

(man fa^ala hadha) ce qui signifie : « Qui a fait cela ? » Ibnou ^Abbas avait répondu : « Moi, ô Messager de Dieu. » Le Messager de Dieu صلَّى الله عليه وسلم avait alors invoqué en sa faveur :

(( اللهم فقِّهْهُ في الدِّين وعَلِّمْهُ التأويل ))

(Allahoumma faqqih-hou fi d-dini wa^allimhou t-ta’wil) ce qui signifie : « Ô Dieu accorde-lui la science de la religion et enseigne-lui l’interprétation. »

Si le ta’wil avait été interdit, cette invocation de la part du Prophète aurait été une invocation contre Ibnou ^Abbas et non pas une invocation en sa faveur !

Plus encore, interdire le ta’wil mène à prétendre qu’il y aurait des contradictions au sein même du قُرْءَان Qour’an. Si quelqu’un retient le sens apparent de la ‘ayah :

﴿وَهُوَ مَعَكُمۡ أَيۡنَ مَا كُنتُمۡۚ٤﴾

[57 / 4] (wahouwa ma^akoum ‘aynama kountoum), et croit donc que Dieu est avec tout un chacun par Son Être ou qu’Il prend place dans tous les endroits[1] ; et retient aussi le sens apparent de la ‘ayah :

﴿ٱلرَّحۡمَٰنُ عَلَى ٱلۡعَرۡشِ ٱسۡتَوَىٰ ٥﴾

[20 / 5] (Ar-Rahmanou ^ala l-^archi stawa), et croit que Dieu est assis sur le Trône ; cela entraîne une contradiction, car cela signifie que Dieu serait à la fois dans la direction du haut au-dessus du Trône et avec tout un chacun par Lui-même, dans toutes les directions, dont la direction du bas, vers la terre. Cela entraîne donc qu’il y aurait des contradictions, or il n’est pas possible qu’il y ait des contradictions dans le قُرْءَان Qour’an. Dieu dit :

﴿أَفَلَا يَتَدَبَّرُونَ ٱلۡقُرۡءَانَۚ وَلَوۡ كَانَ مِنۡ عِندِ غَيۡرِ ٱللَّهِ لَوَجَدُواْ فِيهِ ٱخۡتِلَٰفٗا كَثِيرٗا ٨٢﴾

[4 / 82] (‘afala yatadabbarouna l-qour’ana walaw kana min ^indi ghayri l-Lahi lawajadou fihi khtilafan kathira) ce qui signifie : « Ne méditent-ils pas au sujet du قُرْءَان Qour’a? S’il était parvenu de la part de quelqu’un d’autre que Dieu, ils auraient immanquablement relevé beaucoup de divergences et de contradictions. »

Cependant, si quelqu’un ramenait ces deux ‘ayah à la ‘ayah :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

[42 / 11] (layça kamithlihi chay’) en interprétant l’istiwa par la domination ou bien en disant que l’istiwa a un sens qui convient à Dieu, tout en excluant au sujet de Dieu l’endroit, la position assise et l’installation sur le Trône, et s’il interprétait la Parole de Dieu :

﴿وَهُوَ مَعَكُمۡ أَيۡنَ مَا كُنتُمۡۚ ٤﴾

(wahouwa ma^akoum ‘aynama kountoum) par la science, c’est-à-dire qu’Il sait toute chose à votre sujet, ce serait une cause de sauvegarde car cela est conforme à la ‘ayah :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

[42 / 11] (layça kamithlihi chay’) qui signifie : « Absolument rien n’est pareil à Lui. »

Par ailleurs, que dirait celui qui interdit de faire le ta’wil de la parole de Dieu ta^ala au sujet de notre maître ‘Ibrahim ^alayhi s-salam :

﴿وَقَالَ إِنِّي ذَاهِبٌ إِلَىٰ رَبِّي سَيَهۡدِينِ ٩٩﴾

[37 / 99 ] (waqala ‘inni dhahiboun ‘ila Rabbi sayahdin)

إبراهيم ‘Ibrahim عليه السلام partait vers la Palestine. Est-ce que, selon sa prétention, il va dire que Dieu habite en Palestine ? Ou bien va-t-il faire une interprétation, un ta’wil, pour concilier le sens de cette ‘ayah avec la ‘ayah explicite :

﴿لَيۡسَ كَمِثۡلِهِۦ شَيۡءٞۖ﴾

(layça kamithlihi chay’) et tant d’autres ‘ayah explicites ?! En sachant que ce qu’a visé notre maître إبراهيم ‘Ibrahim عليه السلام par sa parole, c’est : « Je vais là où mon Seigneur m’a ordonné d’aller ! »

Mon frère musulman, si tu lis une ‘ayah dans le قُرْءَان Qour’an dont le sens apparent [hors contexte] est contraire à celui des ‘ayah explicites, ne te précipites pas si tu n’as jamais entendu son explication de la part de ceux qui sont qualifiés pour la donner. Dis-toi plutôt : « Elle a forcément un sens qui est digne de Dieu ! » et réfère-toi aux ‘ayah explicites. Ne retiens absolument pas le sens apparent, c’est-à-dire le sens qui te vient à l’esprit et qui conduirait à penser que Dieu aurait des similitudes avec les choses qu’Il a créées. Que Dieu agrée le Maître Ahmad Ar-Rifa^iyy Al-Kabir qui a dit ce qui signifie : « Préservez vos croyances de l’attachement au sens apparent de ce qui est non explicite dans le قُرْءَان Qour’an et la Sounnah, car ceci est une des portes qui conduisent à la mécréance. »

Ayant tenu mes propos, je demande que Dieu me pardonne ainsi qu’à vous-mêmes.

Second Discours[2] :

الحمد لله والصلاة والسلام على سيدنا محمّد رسول الله يا أيّها الذين آمنوا اتّقوا الله اللهم اغفِرْ للمؤمنين والمؤمنات

Al-hamdou lil-Lahi wassalatou was-salamou ^ala sayyidina Mouhammadin raçouli l-Lah ; ya ‘ayyouha l-ladhina ‘amanou ttaqou l-Lah.

Allahoumma ghfir lil-mou’minina wal-mou’minat.

[1] Cette ayah signifie : « Il sait toute chose vous concernant, où que vous soyez. »

[2] Il s’agit des piliers selon Ach-Chafi^iyy pour ceux qui seraient amenés à donner le discours entièrement en français. Les piliers devraient être dits en arabe.